Fermer la transaction : l’art du “Closing the Deal” en immobilierIntroduction
- Sabine Denoun
- 1 déc.
- 2 min de lecture

En Israël, comme ailleurs, la réussite d’une acquisition immobilière repose sur un moment clé : la fermeture de la transaction, ou closing the deal. C’est l’étape où tout se joue : prix final, conditions, délais, sécurisation juridique. Comprendre ce processus permet d’éviter les mauvaises surprises et d’aboutir à un accord gagnant-gagnant.
1. Préparation : la clé d’un closing réussi
Avant même la négociation finale, plusieurs éléments doivent être anticipés :
Documents essentiels : extrait du cadastre (Tabu), plans, permis, statut juridique du bien.
Validation du financement : obtention préalable d’un accord bancaire ou d’un ishur ekroni (pré-accord de prêt).
Évaluation du bien : inspection technique, estimation du marché, analyse des risques.
Une bonne préparation permet d’arriver à la table du closing avec un avantage stratégique.
2. Négociation : transformer l’intérêt en engagement
Le closing n’est pas seulement une formalité : c’est une négociation de haute précision.
Ajustement du prix final selon les inspections, travaux nécessaires ou délais.
Clarification des conditions suspensives, notamment liées au financement.
Définition du calendrier des paiements, très structuré en Israël (10 % à la signature, puis étapes successives).
Dans cet échange, un agent expérimenté joue un rôle essentiel pour protéger les intérêts de son client.
3. La signature : sécuriser la transaction juridiquement
Une fois les conditions validées, vient la signature du contrat, rédigé par les avocats des deux parties.
Enregistrement au Tabu, ou dans l’attente d’un enregistrement futur.
Transfert des paiements sécurisés via avocat.
Obtention des documents finaux confirmant la propriété.
C’est le passage officiel où la transaction devient irrévocable.
.png)



Commentaires