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Boum immobilier en Israël : les investisseurs étrangers affluent, mythe ou réalité ?

  • Photo du rédacteur: Sabine Denoun
    Sabine Denoun
  • 1 déc.
  • 1 min de lecture
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Depuis plusieurs mois, les médias évoquent un « retour massif » des investisseurs étrangers sur le marché immobilier israélien. Certains parlent d’un véritable boom, d’autres d’une illusion alimentée par des ventes ponctuelles. Alors, afflux réel ou perception exagérée ? Cette newsletter vous propose une analyse claire pour distinguer le mythe de la réalité.


1. Les chiffres : une reprise… mais sélective


Après un net ralentissement en 2023–2024 dû aux taux d’intérêt élevés et aux tensions sécuritaires, les achats étrangers ont progressé surtout dans des villes premium comme Tel-Aviv, Jérusalem, Herzliya Pituach ou Netanya. Ce n’est pas une explosion généralisée, mais une reprise ciblée dans des segments haut de gamme où la clientèle étrangère reste active et solvable.


2. Les moteurs de l’intérêt international


Trois facteurs expliquent ce regain d’activité :


Stabilité relative du marché israélien à long terme malgré les crises.


Volatilité du dollar et de l’euro, qui rend l’investissement en shekels plus attractif selon les moments.


Aliyah et résidences secondaires, un mouvement structurel et non conjoncturel.



3. Mythe ou réalité ? Une réponse nuancée


Il ne s’agit pas d’un boom massif dans tout le pays, mais d’une vraie dynamique dans les zones recherchées, principalement alimentée par une clientèle internationale fidèle et peu impactée par les cycles économiques.


Conclusion


Le discours du « boom » est exagéré, mais la réalité montre une reprise sérieuse du segment premium. Les investisseurs étrangers ne reviennent pas par hasard : Israël reste une valeur refuge et un marché à forte résilience. Pour les acheteurs, c’est le moment de se positionner intelligemment.

 
 
 

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